Formation diplomante ou formation certifiante ?

Formation Certifiante Les formations certifiantes ont une visée professionnelle, elles s’adressent uniquement à un public d’adultes déjà entrés dans la vie active.  Elles donnent lieu à la délivrance d’une certification qui permet de justifier de la validation de la formation. Les certifications font l’objet d’un classement de I à V, du plus haut niveau au plus bas. Ce classement est fonction du niveau de qualification visé et du niveau de responsabilité professionnelle auquel il donne accès. Le IAM e-learning Center offre d’ailleurs 3 types de certificats :  Certificats professionnels: ils sanctionnent des formations de courte durée et s’adressent à un public de niveau Bac. Ils constituent une première étape vers un diplôme de niveau III (Bac+2). Certificats de compétence: ils sanctionnent des formations de courte durée et s’adressent à un public ayant déjà suivi un parcours Bac+2. Ces formations sont ciblées sur un champ professionnel spécifique et peuvent répondre à des besoins de spécialisation ou de formation complémentaire. Certains certificats de compétence peuvent correspondre à une partie d’un cursus diplômant de niveau II (Bac+3/Bac+4). Certificats de spécialisation: ils sanctionnent des formations de courte durée, professionnalisées et ciblées, qui peuvent répondre à des besoins de spécialisation ou de formation complémentaire. Ils s’adressent à un public de niveau Bac+4 et font l’objet de conditions spécifiques d’accès. Certains certificats de spécialisation peuvent correspondre à une partie d’un cursus diplômant de niveau I (Bac+5).   Formation Diplômante Les formations diplômantes vous permettent d’obtenir un diplôme d’Etat reconnu et aux acteurs externes d’évaluer facilement votre niveau et de déduire le nombre d’années d’étude que vous avez effectuées

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CURSUS CFLA « FINANCEMENT DU LOGEMENT ABORDABLE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE » Du 12 au 17 Septembre 2021 / Hotel Terrou-Bi, Dakar

De quoi parle-t-on ? L’Afrique subsaharienne, en particulier dans les pays francophones, est confrontée à un défi majeur en matière de logement lié à l’urbanisation rapide et à la formation de nouveaux ménages urbains. La production de logements formels ne peut suivre la croissance urbaine, entraînant une détérioration de l’état du parc de logements existant et une augmentation du nombre de logements auto-construits et d’abris de fortune. Pourquoi s’inscrire ? Pour répondre à cette demande croissante de logements abordables et très abordables, il convient de développer un cadre sécurisé et attractif pour les investisseurs immobiliers, correspondant à la demande.Les systèmes de financement du logement doivent se développer, s’adapter et s’innover de toute urgence.L’objectif du cursus est donc bien de donner aux participants les outils analytiques pour évaluer les systèmesde financement du logement dans leur pays et devenir des partenaires actifs pour améliorer ces systèmeset les rendre plus en phase avec les capacités des demandeurs. Pour qui ? Le cursus est destiné aux professionnels du secteur (agences de financement, d’institutions universitaires etd’institutions internationales de développement opérant en Afrique subsaharienne, aux développeurs, auxpromoteurs, etc) dans un cadre de partage d’idées et offrant d’excellentes opportunités de mise en réseau.Modules du Cursus :– Introduction : Les chaînes de valeur du logement ; notions financières et techniques de base– Rôle de l’Habitat dans l’économie en Afrique de l’Ouest– Comprendre et évaluer les marchés du logement dans l’UEMOA– Les éléments constitutifs et les produits d’un système de financement du logement– Le financement du logement en tant qu’activité– Les banques et unions économiques et monétaires : cycles, bulles et régulation– Les sources de financement : le rôle des marchés de capitaux– Les banques et le financement de l’habitat– Vers un financement du logement plus inclusif– Leviers pour l’accès au logement abordable des ménages non bancarisés– La promotion sociale immobilière– Filière du BTP et éco-constructionLes interventions théoriques seront accompagnée d’ateliers, d’étude de cas et de deux visites de terrain.

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Offrir un avenir à la jeunesse africaine Covid ou post-Covid, l’emploi des jeunes reste au cœur des défis africains

L’Afrique doit avancer plus vite que le reste du monde vers une nouvelle économie où le rapport au savoir et à l’acquisition de compétences va être radicalement modifié. L’impact de la crise Covid sur les systèmes éducatifs a encore creusé davantage l’écart entre un service public dont les défaillances se sont accrues et une offre privée qui bien que très fortement touchée a su tant bien que mal réagir et s’adapter. La crise Covid n’est cependant qu’un élément de plus qui, jusqu’à présent, a eu fort heureusement en Afrique un impact sanitaire limité mais des conséquences économiques et sociales qui restent difficiles à évaluer et qui risquent d’amplifier les dynamiques en cours. Elle est ainsi venue « s’ajouter » à la rapidité des changements liés à la démographie, qui se traduit par une urbanisation effrénée et des migrations intra-africaines de plus en plus massives vers les zones de croissance. Elle a aussi mis en lumière le recours massif au numérique qui conduit à des mécanismes accélérés de destruction, de création et de transformation d’emplois. Le télétravail, comme ailleurs, est devenu, sinon une norme, une nouvelle modalité et non une exception. Plus vite que dans les pays développés où les questions d’ajustement, offre et demande d’emploi, sont pourtant loin d’être résolues. La main d’œuvre va donc devoir changer d’emploi régulièrement, plus rapidement et adapter ses qualifications de nombreuses fois dans une carrière professionnelle. La question de la formation tout au long de la vie s’impose alors comme une nécessité incontournable. L’offre éducative est donc appelée à évoluer pour accompagner ces changements. Elle reste encore fortement diplômante et trop générale, car historiquement construite dans une perspective d’intégration dans l’emploi public. Elle reste peu réceptive, sinon réfractaire, aux changements et aux innovations pédagogiques et très peu imprégnée d’une culture économique et encore moins entrepreneuriale qui doit devenir la norme par nécessité et non par dogmatisme ou idéologie. Il y a pourtant urgence. D ’ici 2040, c’est plus de 450 millions de jeunes qui vont arriver sur le marché du travail alors que, dans le même temps, seulement environ 100 millions d’emplois seront créés. Ainsi, moins d’un quart bénéficieront d’un emploi lié à un contrat de travail à condition encore que leurs compétences répondent aux besoins de l’économie ce qui est déjà aujourd’hui loin d’être le cas. Plus on va à l’université plus on risque d’être chômeur alors que les entreprises manquent de compétences correspondant à leurs besoins. Le reste, soit plus des trois quarts, devra donc s’auto-employer : devenir entrepreneur. Pour cela, il est nécessaire de sortir de la passivité et du confort de la salle de classe pour être autonome et savoir gérer, au risque de choquer : le « capitalisme de soi ». Dans le même temps, l’économie numérique est en plein essor. Le secteur de l’éducation, qui doit conjuguer massification, efficience et accessibilité par ses modalités et son coût d’accès, n’échappera pas à cette évolution majeure. Elle ne touche pas que l’Afrique mais aussi le reste du monde où ces changements sont à l’œuvre. Les retards pris, pour non pas faire disparaitre le professeur en classe, mais pour ne pas restreindre l’offre éducative et l’acquisition de savoirs et de compétences au huis clos d’une salle de classe ont été brutalement mis en lumière par la crise Covid. L’école que nous connaissions a subitement disparu. Certains rêvent de la reconstruire comme avant (la crise), d’autres pensent le futur. C’est le cas de IAM (Institut Africain de Management) à Dakar et Bamako, par exemple, qui, tirant les leçons de la crise Covid, a entrepris de fabriquer et de mettre en ligne un volume significatif de formations en e-learning made in Africa pour les étudiants, les professionnels et les entreprises. L’Afrique n’a pas vraiment le choix. Le système éducatif mondial est en effet en pleine transformation avec des changements majeurs qui constituent une rupture forte avec les systèmes classiques de transmission du savoir. Sous la pression des besoins de l’économie d’une part, et des possibilités qu’offrent les technologies numériques, d’autre part, des services flexibles répondant à une demande non satisfaite se construisent. Au-delà des MOOCs (Massive Open Online Courses), qui font déjà partie du passé, il s’agit de faire jouer à l’apprenant un rôle central en lui offrant des parcours professionnalisants interactifs et sur mesure, véritables dispositifs de formation tout au long de la vie. On doit lui apprendre à apprendre et lui faciliter l’accès aux connaissances et compétences dont il a besoin quand il en a besoin. L’école, notre école, n’est plus le lieu unique de transmission du savoir. Ce qui ne veut pas dire qu’elle doit disparaitre. Il faut donc accepter de rompre avec une spirale de déclin qui semble irréversible et qui a pour principe de poursuivre des logiques d’intervention qui sont devenues aujourd’hui en grande partie inadaptées dans une Afrique en pleine émergence. On sait par exemple qu’il sera impossible de construire des infrastructures pour la formation et de recruter des enseignants en nombre suffisant pour suivre le rythme de la croissance des effectifs. Pourtant, on persiste dans ce qui s’apparente au mythe de Sisyphe. Le ciment des murs des écoles peut aussi être un agent destructeur de tissu social. Le temps de l’Afrique d’aujourd’hui n’est plus le même qu’hier, les attentes de la jeunesse et plus globalement de la société ont aussi évolué significativement. Le système éducatif doit donc évoluer en conséquence pour prendre en compte les nouvelles aspirations de la société africaine dans une économie du savoir où le numérique sera un des éléments déterminants, pour conjuguer plus efficacement massification, accessibilité, qualité, employabilité, innovation et entrepreneuriat. N’est- il pas nécessaire alors que l’on parle de chaînes de valeurs, de FCFA versus ECO, de rappeler que « la matière première-clé qui assure un avantage compétitif aux personnes, institutions et lieux géographiques qui la détiennent, ne se situe plus dans le matériel (les denrées, matières premières et sources d’énergie, même si les enjeux sont grands sur ces sujets, etc.) mais dans l’immatériel(l’information, le savoir-faire et la connaissance) » (source Wikipédia). L’Afrique peut-elle

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13 règles pour REUSSIR SA FORMATION E-LEARNING

Vérifier que le format e-learning est adapté à son projet Avoir un objectif professionnel précis. … Avoir le soutien de son entourage. … Trouver la formation qui convient. … S’astreindre à un rythme régulier. … S’aménager un espace de travail confortable. Suivre la formation à son rythme Etre rigoureux pour atteindre ses objectifs Travailler un peu chaque jour S’aménager des temps de repos et de ressourcement Revenir régulièrement sur les connaissances apprises Lire des articles et livres en lien avec le domaine de la formation Echanger durant le parcours de formation avec les formateurs et les autres apprenants

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Qu’est ce que le e-learning ?

Le e-learning correspond à l’utilisation des technologies informatiques et de l’Internet pour fournir un large éventail de solutions permettant de faciliter l’apprentissage et d’améliorer les performances. De nombreux organismes et institutions utilisent le e-learning, parce qu’il peut se révéler aussi et même plus efficace que la formation traditionnelle pour un coût inférieur. Ne serait-ce que parce vous n’avez plus de couts de déplacements et que vous prenez un temps beaucoup plus réduit sur votre temps de travail de travail que s’il vous faillait assister à des sessions de formation en présentiel. On estime que dans la formation technique professionnelle, les coûts de formation d’un apprenant, qui sont élevés, peuvent être divisés par deux. Vous apprenez à votre rythme et selon vos disponibilités. On estime qu’une heure de cours en -e-learning équivaut à 4 heures de cours ne présentiel. En termes de pédagogie, l’e-learning présenterait une efficacité supérieure aux formations en présentiel. D’après une étude réalisée en 2014 par la Research Institute of America, le taux de rétention d’information des formations en e-learning se situe entre 25-60%. En revanche, le taux de rétention des formations en présentiel ne se situe qu’entre 8 et 10%. L’efficacité de l’e-learning ne se traduit pas uniquement par une meilleure mémorisation de l’information mais également par l’obtention de meilleures performances aux examens. Un vaste projet de recherche, effectuée par l’U.S. Department of Education, a étudié les résultats de 99 études portants sur l’efficacité de l’e-learning. Voici les principales conclusions de ce rapport : En moyenne, les étudiants ayant suivi une formation en e-learning obtiennent des performances légèrement supérieures à ceux qui ont suivi des cours en présentiel. Le Blended Learning, qui combine à la fois les formations en ligne et en présentiel, se révèle être plus efficace que les cours en classes mais également que les formations en 100% à distance. L’approche la plus courante en matière d’e-learning en auto-apprentissage, retenue par IAM, consiste en un ensemble de leçons interactives ou e-leçons en ligne. Une e-leçon est une séquence linéaire d’écrans qui peut inclure des textes, des images, des animations, de l’audio, de la vidéo et des modules interactifs sous forme de questions et de commentaires. Une e-leçon peut également inclure une liste d’ouvrages à lire et des liens vers des ressources en ligne, ainsi que des informations supplémentaires sur des sujets spécifiques. IAM s’adapte donc à vos besoins car nous avons compris que les attentes des étudiants et des professionnels ont évolué significativement et que le numérique est nécessaire pour mieux pour vous accompagner et mieux conjuguer accessibilité, qualité, employabilité, innovation et entrepreneuriat.

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